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DianeÉcrivain

9 août 2012

suspens

                                          PS : Mettez autant de commentaires que vous souhaitez, des bons et des mauvais N'esitez pas ! Soyez francs please :) j'ai besoins de ça pour évoluer ! Par contre désoler pour les fautes d'orthographes, la ponctuation, et la police... :/ merci encore !

 

 

SUSPENS

 

La famille Béronne, Marocaine de souche, habite à Marrakech.

Le père de cette famille, nommé Moubarak est docteur, âgé de 39 ans. Il adore le souk, les bruits et les cries des enfants et même les taxis qui clac sonnent, la foule dans les rues.

La mère nommée Rachida, pharmacienne, âgé de 38 ans, elle, adore les massages, le désert et le soir les restaurants qui s'installent tard sur les places.

La grande sœur nommée Hedia, âgée de 15 ans, elle adore les massages, les garçons, les gâteaux marocains et sa petite sœur, âgée de 3 ans, nommée Fatima, elle, adore sa poussette.

Dans la famille ils parlent tous Français car ils ont de la famille à Marseille et il parle Marocain aussi.

Au Maroc il y a des personnes riches, des personnes pauvres, des personnes qui vous font des Henner.

Des personnes qui vous mettent des singes sur le bras, des personnes qui jouent de la flûte, et qui font lever les serpents.

Il y a aussi la circulation désagréable et ce qui est bien au Maroc c’est

le souk, le souk sa crie sa hurle, le souk est un genre de marcher où les gens on leur petits magasins et ils vendent n'importe quoi.

Des personnes qui vous appellent « Hé, ma princesse ! » alors qu’ils ne vous connaisses même pas.

Donc, voilà la famille Béronne habite au Maroc, ils étaient heureux. Mais un soir, en regardant les informations avec les enfants :

« Encore aujourd’hui des délinquant se sont fait arrêtés par la police Française à la frontière de l'Espagne ! Malheureusement la police ne va pas les délivrer toute suite. Merci beaucoup et nous nous retrouvons demain soir pour de nouvelles informations…»

- Mais papa pourquoi ils voulaient aller en France ?

Demanda Hedia.

  • Hé bien tu sais chérie. La France est très populaire et puis tu sais ils ont voulus passer la frontière de l'Espagne pour aller en France car il y a des aides d’insertions...

    Expliqua Mr Béronne, et Rachida lui coupa la parole :

  • . Bref, tu vas te coucher ma louloutte, maintenant les informations sont terminés, brossage des dents, tu te mets en pyjama et tu vas te coucher allé !

Hedia va ce brossé les dents en râlant.

La mère, lut une histoire a Fatima le temps qu’elle s’endorme.

Puis les parents regardent une série nommée « أصدقائي ، يحب ، بلدي الهراء » ce qui veut dire « Mes amis, mes amours, mes emmerdes ». qui passe tous les Lundis.

Le lendemain matin, les parents se hâtent au travaillent. Le jour même les deux parents se sont fait virés de leur société. Rachida de la pharmacie et Moubarak de son cabinet. Quand ils l’annoncent aux filles, Hédia est toute en panic, Fatima elle, ne comprend rien. Le téléphone sonne. Rachida le pris et décroche c'est en ce moment ci que Fatima assiste à la destruction du visage de sa mère.

5 minutes après Rachida raccrocha. La maman d'Hédia dit à haute voie les larmes aux yeux :

  • Hédia...Fatima...Papy est mort.

    Elle font en larme devant Hédia qui ne put s'empêcher de pleurer elle aussi. Son anterment est la semaine prochaine à Marseille. Dit-elle en s'adressant à son mari. Elle ajoute en chuchotant. On part Après demain.

  • Ne t'inquiète pas ma chérie. Rassure Moubarak en l'enlaçant.

 

2 jours Après (Marseille)

 

L'antermant fini, la mère de Rachida en profita pour lui annoncer qu'elle va bientôt mourir à cause d'un cancer de la peau. Et qu'il lui reste 3 à 4 ans. Rachida et Moubarak pris la décision de déménager et rester à Marseille pour rester près de sa mère...

 En

2000

 

Chapitre 2

1 an plus tard la famille Béronne habitent à Marseille Rachida s'occupe toujours de sa mère, et tous les ans ils vont aux Maroc dans le désert, pour ce rappeler quelques souvenirs ceci est devenu leur tradition.

Tous on retrouvé un travaille et une école.

Des mois passe et pendant les vacances ils vont au Maroc, puis ils hâtent au désert pour revoir ce ci beau paysage.

Mais quand ils arrivent vers l’agence des guides une violente dispute éclate entre une stagiaire, Mr. et Mme Béronne :

  • Bonjour, vous allais dans le désert ?

- Oui.

  • Je vous propose un guide. demanda la charmante stagiaire.

  • Oh ! Oui pourquoi pas ? S'exclamèrent Rachida.

  • Non merci ! Conclut Mr. Béronne.

Ils prennent leur 4x4 et partent dans le désert.

Le père gare la voiture à des kilomètres des dunes.

A 4 heure de l’après midi ils sont en train de marcher dans le sable chaud.

Hedia, dévale les dunes en faisant des roulades.

Puis vers 6 heures de l'après midi, ils sont en trains de rechercher leur voiture mais malheureusement désespéré ils ne la trouvent pas :

  • Papa, où as-tu mis la voiture ? Commence Hedia.

  • Ne t’inquiète pas ma puce ton père sait ce qu’il fait ! N’est ce pas Moubarak ? Ajoute Mme Béronne

  • Mais oui, mais oui arrêtez. Essaye de rassurer Moubarak

  • Chérie, nous nous sommes pas déjà passés par là ?

  • Arrête d'hallucinée…

  • Papa, j’en peux plus de marcher ! crie Hedia.

  • Oh ! vous allez arrêter de vous plaindre ! Conclut Moubarak en colère.

Puis vers 19:30 ils commencent à voir le désespoir venir vers eux. Moubarak se laisse tomber sur ses genoux brusquement,

et les deux autres derrière suivent, puis Hedia commence a pleurer :

  • On n’est perdu ! On n’est perdu ! On n’est perdu !

  • Mais non mon choux ! Rassure Mme Béronne.

  • Chérie tu peux me passer l’eau s’il te plaît ! Demande Moubarak.

Quand, Rachida sort les 4 bouteilles d’eau, 3 bouteilles sont vide en un rien de temps sauf celle de Fatima.

Moubarak et Hedia se disputent pour avoir la dernière bouteille. Rachida Conclut qu'ils doivent ce la partager.

Et tous le monde eu sa gorgée, même Fatima, et puis ils reprennent leur marche.

30 minute après Hedia s'arrêta :

  • JE M’ARRETE ! STOP !J'EN PEUT PLUS ! Hurle t-elle en pleure.

  • Oui, elle a raison on tourne en rond. On en peut plus.

  • D’accord, cherchons un oasis ou un puits et posons nous pour la nuit. Propose Moubarak.

Ils trouvèrent pas loin un bel oasis avec un palmier à côté. Et ils courent et boivent, boivent tous ce qu'ils peuvent. Le vent se lève, une tempête se prépare...

Il souffle tellement que l’on n’arrive même plus à boire. Une branche du palmier se casse, et tombe sur les têtes de toute la famille, tous eu un traumatisme crânien, tous sont morts avec la certitude d’aimer et de partir au paradis.

Sauf, Fatima qui est juste assommée. (stop du story board) 

6

Mois

Après 

 

 

Chapitre 3

Nous sommes à New York dans la plus célèbre des bureaux de journalistes. Dans le bureau du directeur de Jenny Parker :

« Alors Jenny qu’as-tu à nous proposer comme sujet cette semaine ?

  • Euh… rien, car je pensais plutôt à faire un voyage…

  • Un voyage ! Pour vous reposez certainement pas !

  • Non, non Monsieur. Ricane t-elle. Je ne me permettrais pas...

    Je ne voulais pas dire cela mais un voyage au Maroc plus précisément.

  • Précisez !

  • Oui ! Car au Maroc il y a des paysages des animaux et nous aurons un sujet assez concret  !

  • Bon, je trouve ça assez intéressant je vous met sur le terrain, quand voulais vous partir ?

  • Ce soir !

Le soir venu elle prend l’avion.

Après 7 heures d’avion, enfin arrivée, elle décide de commencer directement par le désert.

Arrivée elle voit au loin, 4 personnes allongées sur le sable chaud.

 

Elle coure le plus vit possible quelle est peut mais les personnes allongées sur le sable, sont bien plus loin qu’elle ne le pensait…

Elle fait demi-tour, retourne en courant vers sa voiture garée de l’autre côté des dunes. Toute essoufflée arrivé elle démarre le contact et fonç en voulant savoir ce que c’est .

A 1 km des 4 personnes allongées. La journaliste s'arrête descend du 4x4 et trottine, arrivée en face des 4 personnes alignées. La journaliste ne pensait pas que c’était des personnes elle aurait plutôt imaginée 4 gentils animaux. Par son regard elle est désolée et dégoutée pour eux...

Puis d’un coup deux petits yeux se s'ouvrent et regardent la charmante dame.

Dans la condition qu’elle est elle ne sait pas quoi faire, puis la petite fille se relève et essaye de tourner la tête mais à ce moment précis la journaliste eu un reflex de la prendre pour ne pas faire voir à Fatima ses parent qui eux ne se réveillerons plus jamais.

 

EN

2001

1 ans après Jenny a ramenée la petite Fatima chez elle. Fatima était rester longtemps endormie, tellement longtemps que Jenny cru a un certain moment qu'elle était morte mais un jour la voilà ouvrir un œil.  

 

Chapitre 4

Fatima se réveille, mal à la tête, elle avait grandit maintenant elle a

7 ans.

Elle se demande se qu’elle fait là, elle ne se souvient plus de rien elle a perdu 7 ans de sa vie, elle prend son petit déjeuné et parti a l’école avec Jenny :

  • Bonjour Liz ! s’exclame Jenny

  • Euh… Bonjour ! Balbutiât Fatima

  • Ça va aujourd’hui ? Je suis ci contente que tu t’es réveillé ce matin hier tu avais du mal. Fatima ne répond pas.

    Puis, fini par dire :

  • J'ai mal à la tête.

  • Ah bon ? Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ?

  • Excuse moi, mais je ne me souviens de rien... Qui es-tu ?

    Mme Parker rigole et conclue par :

  • On est arrivée bon tu ne mange pas à la cantine. Ce midi, je viens te chercher et on en reparlera. A toute à l’heure Liz ! »

Fatima se tue est entre dans un grand établissement qui donc s'appelle « l'école » plus précisément « la primaire » elle est en CE1 là où on apprend le présent, les additions, les soustractions à 3 chiffres...

« Bonjour les enfants ! déclare la maîtresse, je vous présente une nouvelle camarade qui vient d’arriver elle se nomme… » La matiné passe.

Quand il fallut que tous le monde rentre chez sois, Fatima retrouve Jenny à la sortie, cela lui pris la main :

  • Sa va Liz ? Ta matinée c’est bien passée ??

  • Euh…oui…oui ma matinée c’est bien passée.

  • Bien je suis contente !

Elles rentrent chez elles.

 

Chapitre 5 

L'après midi passe. Et le soir à table il eu un silence parfait. Fatima finit par dire :

- Tout à l'heure tu m'as dit que on allait reparler de ma question de ce matin...On peut ?

- Oui bien sûr c'était quoi déjà ?

- Qui tu étais ?

Jenny rigola une fois de plus à la question de Fatima.

- Je suis ta maman Liz ! Enfin ! Pourquoi cette question ?

- Je ne sais pas ce matin quand je me suis levée je ne me souviens de plus rien...

- Et bien, si je peux t'aider, tu es Liz ma fille de 7 ans ! Jenny souris. Et conclut. Aller monte !

Après le repas, Fatima va se coucher sans un seul petit mot.

Elle a du mal à s’endormir puis ferme ses yeux après quelques heures :

« Je suis tombée du ciel ne sachant comment.

Je donne la main à une dame, qui est à côté de moi, pas très loin se trouve une jeune fille et un homme. Je ne sais d’où je viens. Je ne sais pas où je suis, mais je marche tout droit, là où le destin m’emmène.

Je ne sais pas qui je suis et comment je m’appelle.

Le trac m’accompagne, mais pourquoi cette charmante dame qui se trouve a côté de moi me donne la main ?

Je me tourne vers la femme et lui dis :

« Qui êtes-vous ? »

Mais celle-ci ne me répond pas. J’entends seulement les klaxons des voitures, les hurlements des enfants. Soudain, une voix douce crie un prénom, même si je pense qu’il ne m’est pas destiné, je le suis afin de le rejoindre car ça m’intrigue. Je lâche la main de la dame et celle-ci disparait, au moment même où les bouts de mes doigts se détachèrent de la main fine et douce de la dame. Je regardai à droite, à gauche, personne, personne n’était à l’horizon, seulement quelques magasins. La peur me monta jusqu'à la tête ne sachant rien, ni un seul petit mot, je regardai partout sans réfléchir on dirait que je ne connais ni mon nom, ni ma langue, j’abandonne la dame, l’homme et la jeune fille. Aucun souvenir. Puis je retournai vers la dame et repris sa belle et douce main, mais en marchant, je me suis aperçue qu’ils marchaient tout droit sans savoir où ils allaient vraiment.

Fatima, c’est réveillée en sursaut. Jenny, est à côté d’elle :

  • Liz ? Ça va ? Dit Jenny en essayant de Rassurer Fatima.

  • Euh... je crois que j’ai fait un cauchemar !

  • Ah ? descend et tu me raconteras ça en bas.

Enfin en bas :

  • Voilà en fait c’était une femme qui me tenait la main et elle était avec un homme et une autre fille. Je savais pas qui j’étais personne ne parlait c’était totalement étrange.

  • D’accord Liz ! Bon bah tu veux faire quoi aujourd’hui, car vu que l’on est Samedi moi je dois aller à la banque puis à 3h00 j’ai rendez-vous avec mon stagiaire. Alors si tu veux tu peux rester à la maison regardée la télévision ou quoi que se soit mais moi j’ai des choses à faire.

  • Euh oui d’accord.

  • Bon je vais préparer à manger, ce midi se sera rôti et légumes.

  • Euh... Oui !

Jenny part dans la cuisine, Fatima remonte dans sa chambre pour se préparer.

Vers 12 :30 Mr. Parker rentre à la maison :

  • Bonjour tout le monde ! Crie celui-ci.

  • Bonjour, chéri !

Fatima descend et répond :

  • Bonjour !

  • Vite, vite, vite je suis pressé je ne te raconte pas ma matinée ! Il commence à s’installer sur le canapé et allume la télé et regarde les informations.

Ils se mettent à table.

A la fin du repas, Mr. Parker est repart en embrassant tout le monde.

Jenny, elle, part à la banque. Et Fatima, reste à la maison quand elle allume la télé ses yeux se ferme petit à petit :

« Je suis tombée du ciel ne sachant comment.

Je donne la main à une dame, qui est à côté de moi, pas très loin se trouve une jeune fille et un homme. Je ne sais d’où je viens. Je ne sais pas où je suis, mais je marche tout droit, là où le destin m’emmène.

Je ne sais pas qui je suis et comment je m’appelle.

Le trac m’accompagne, mais pourquoi cette charmante dame qui se trouve a côté de moi me donne la main ?

Je me tourne vers la femme et lui dis :

« Qui êtes-vous ? »

Mais celle-ci ne me répond pas. J’entends seulement les klaxons des voitures, les hurlements des enfants.

Soudain, une voix douce crie un prénom, même si je pense qu’il ne m’est pas destiné, je le suis afin de le rejoindre car ça m’intrigue.

Je lâche la main de la dame et celle-ci disparait, au moment même où les bouts de mes doigts se détachèrent de la main fine et douce de la dame. Je ne regardai à droite, à gauche, personne, personne n’était à l’horizon, seulement quelques magasins. La peur me monta jusqu'à la tête ne sachant rien, ni un seul petit mot, je regardai partout sans réfléchir on dirait que je ne connais ni mon nom, ni ma langue, j’abandonne la dame, l’homme et la jeune fille. Aucun souvenir. Puis je retournai vers la dame et repris sa belle et douce main, mais en marchant, je me suis aperçue qu’ils marchaient tout droit sans savoir où ils allaient.

Enfin les voilà entrée dans une grande entreprise, la fille continua jusqu’au bout de la route elle regarda la dame et l’homme en faisant bouger sa main, de droite à gauche. Moi, après avoir regardé le spectacle, je suis entrée dans l’entreprise et j’ai vue des personnes assissent sur des sièges de toutes formes ; en face d’eux des bureaux où il y en avait tout le long du mur et entre chaque collègue il y avait des cloisons. Il ne faisait que taper sur des ordinateurs, qui se trouvaient en face d’eux sur les bureaux. Ils étaient comme des robots (minables). Puis après avoir vue tout cela la dame et l’homme s'assirent et ils reproduisaient ce que les personnes faisaient. Je suis retournée sur le trottoir et marcha, je suivais les traces que la fille avait fait en marchand ».

  • AH ! Ouf !

    Fatima se réveilla en sursaut elle avait fait le même rêve. Elle se dit qu'on peut très bien faire 2 fois le même rêve...

Elle se remet à regarder la télé après avoir pris une douche froide pour ce remettre les idées en place ! Il est déjà 4h30, elle commence à goûter.

Et puis l’heure passe…

Et Jenny rentre à la maison elle demande si tous c’ést bien passé en son absence :

  • Euh…J’ai refait le même rêve et ceci me perturbe un peu...

  • Oh ! Mais ne t’inquiète pas, chérie, tu as goûté sinon ?

  • Oui ! Je vais dans ma chambre.

  • C’est entendue je t’appelle pour le diner.

Quand Fatima monte les escaliers elle trébuche « PATA BOUM » elle loupe une marche et tombe en arrière la tête en première !

Elle se relève, le visage est défiguré :

  • LIZ ! Ça va ? Tu te sens comment ? Chérie répond moi !

  • Euh…J’ai mal à la tête.

Et s’effondre dans les bras de Jenny. Celle-ci appelle l’Ambulance, on l’emmène dans le camion Jenny monte avec elle. Elle appelle Mr Parker qui lui arrive tout de suite a l’hôpital.

  • Elle va bien ? Elle va bien ou pas ?

  • Chéri calme toi on ne sait pas pour l’instant elle dort.

Fatima est plongée dans un coma profond elle continue son mystérieux rêve :

«Je suis tombée du ciel ne sachant comment.

Je donne la main à une dame, qui est à côté de moi, pas très loin se trouve une jeune fille et un homme.[...].

[…] J’ai enfin rattrapée la jeune fille qui était très belle je me suis mise à coté d’elle et pris sa main je ressentais des vibrassions dans tout mon corps ceci me faisait du bien je sentais une forme de protection quelque chose qu’on ne retrouve pas partout ! Et enfin je l’ai regardée

Est lui dis-je :

« Qui es-tu ? »

La jeune fille me répond :

« Hedia je m’appel Hedia et toi tu es Fatima ma petite sœur »

Ce rêve devenait étrange. Quel message veut-on lui faire passer ? Que voulais dire ce rêve ? Qui était ces gens...? Fatima pouvait-elle avoir une sœur ?Toutes ces questions qui sont elles aussi étrange...

 

Chapitre 6 

« Bonjour, vous êtes Mr. et Mme Parker c’est cela ?

  • Oui, oui c’est nous en est fait et vous vous êtes le docteur de notre fille c’est bien ça hein ?

  • Oui, oui euh…Sans vous cachés la vérité et bien la chute a était vraiment très forte pour elle. Elle est dans un coma très profond pour l’instant on la laisse comme ceci, ce que nous espérons c’est quelle ne s’enfonce pas plus loin dans le coma sinon on ne pourras plus la réveiller et elle risquerait de mourir. Vous ne pouvait pas pour l’instant la voir nous essayons tout notre possible pour la réveiller.

  • Non, non, non. S’il vous plaît réveiller la s’il vous plaît !

  • Au revoir !

Mme Parker se met à pleurer…

Le lendemain Jenny se réveille tôt après avoir passé la niut à l'hôpital avec Mr. Parker :

  • Docteur ! Excusez-moi euh…Où est le docteur Lorain ?

  • Euh… Je crois qu'elle est dans la salle d’opération pour une petite fille il faut la laisser si vous devez la voir attendez ici dans la salle d’attente, merci !

  • D’accord ! Merci docteur !

Après que le docteur sois partie :

  • Tu te rends compte ? Est ce que tu te rends compte ? Notre fille ce fait opérer mais opérer de quoi ? Tu vas me le dire ça hein OPERER DE QUOI ?

  • Calme toi chérie si elle se fait opérer ceci veut dire que c’est une solution…

  • UNE SOLUTION ? UNE SOLUTION ? »

Et elle se remet a pleurer le soir se fut et rien toujours rien.

Jenny se met à dormir sur l’épaule de Mr. Parker.

Le lendemain, Jenny croisa le docteur Lorain en allant chercher un café :

« Docteur, docteur !

- Ah ! Tiens j’allais venir vous voir.

- Il était tant dite moi !

- Mme Parker calmez-vous s’il vous plaît. Je vais voir mon assistante et j’arrive dans disons 4h !

- 4h ? Mais vous...vous rigolez, moi je suis avec mon mari depuis avant-hier matin on attend des résultats !

- Je les est les résultats Mme Parker.

- Et bien donnez les moi.

- Non Mme Parker j’ai d’autres patients je dois faire des visites de 50 personnes, j’ai rendez vous en plus avec ma secrétaire et j’ai une réunion a 12h00, donc a 3h00 je viendrais vous voir car en plus nous n’avons pas terminé avec votre fille. Désolé je dois partir. »

A 12h00 ils mangent à la cafétéria.

A 1h00 Jenny retourne à la cafétéria et pris un café.

A 1h 30 Jenny dort.

A 3h00 toujours rien, Jenny va aux toilettes et Mr. Parker visite l’hôpital.

A 4h00 rien pas un seul mot.

A 19h00 voila le docteur Lorain :

« Ce n’est pas trop tôt vous ma vielliez dit 3h00 il est 19h00 ! Ce n’est pas sérieux. Bon les résultats.

  • Je suis navré !

  • Vous êtes navrée sa veut dire quoi ?

  • Sa veut dire malheureusement qu'elle est visiblement endormis bien trop profond.

  • Quoi ? Quoi ? Quoi ?

  • Je suis navrée.

  • Non… »

Et là derrière la bai vitré où l’on voie Fatima on l'observe se relevé :

  • Je dois y allé excusez moi !

  • Allez y! Allez y! Vite! »

Crie Mme Parker.

3 heures après Fatima retourne vers ses parents. 

Mme Parker lui tend ses bras mais Fatima les évites elle prend son mentaux, le met et elle entre dans la voiture sans un petit mot.

Ils retournent chez eux après avoir dit merci au docteur.

« Alors ma chérie, es-tu contente de retourner à la maison ?

- Ca va... Maman, il faut que je te parle dans ma chambre.

  • Oui ! Pas de problème allons y !

Dans la chambre de Fatima :

  • De quoi veux-tu me parler ?

  • Quand j’étais à l’hôpital j’étais dans le coma ceci tu le sais!

  • Oui !

  • Voilà donc quand j’étais dans le coma... J’ai refait le rêve des personnes assez étranges.

  • Mais, enfin Liz nous nous en avons déjà parlé tu le sais maintenant !

  • Et bien non ceci me tracasse à chaque fois que je ferme mes yeux. On dirait que l’on veut me dire quelque chose …

  • Comme quoi ? Hein Liz comme quoi ?

  • Comme si … Non rien...! Si juste une question j'ai une sœur ?

  • Non Liz tu n'as pas de sœur !

  • D'accord... Fatima n'est pas vraiment certaine que sa mère dise juste.

Fatima descend des escaliers :

  • Que c’est-il passer ? On me cache des choses ? S’exclame Mr. Parker.

    Jenny qui descend les escaliers répond :

  • Rien, rien ceci ne te regarde pas !

    Mme Parker reste distante, inquiète, ce que Mr Parker remarque toute suite.

  • Qu’est ce que t'as ?

  • Ri..en..rien !

  • Dit moi chérie.

    Fatima, remonte dans sa chambre.

  • Et bien... Je crois qui faut la laisser voir un psychiatre...

  • Quoi mais tu es devenue folle !

  • Non, non, ne t’inquiète pas je contrôle la situation !

  • Oui bah j’espère ! Et déjà pourquoi veux-tu qu'elle aille voir un psychiatre ?

  • Car elle rêve de sa soi-disant famille et elle a des doute sur nous !

  • Ah ! Mince et bien laissons la faire mais si au cas où tu échoue... On doit la garder ! On a eu un coup de bol de la trouvé cette fille ! Alors, si tu mets tout parterre je te promet que je n'hésiterais pas...

    Et il lui montra le couteau qu’il tenait dans la main.

  • Oui ! Oui ! Promis Jean Paul ! Promis…

  • Ouais, ouais ! Allez va la voir elle va se demander ce qui ce passe !! »

    Elle monte les escaliers en tremblant... Elle entre dans la chambre de Fatima :

  • Coucou... Écoute j'ai parlé à papa et on sait dit on va t'emmener voir un psychiatre tu vas lui raconter ces fameux rêve dont tu fais et peut être que lui te diras des choses dont je ne suis incapable de te dire...

  • Super ! C'est d'accord ! »

 

                                                                                          Chapitres 7

 Le samedi qui suit, Jenny voulait en finir avec cette histoire de rêve. Elle pris rendez-vous l'après midi avec le psychiatre Fripouille, le plus prêt de chez eux.

Elle prévient Fatima, de ce rendez-vous. Celle-ci, satisfaite, l'après midi, elles prennent la voiture et partent chez ce fameux Mr. Fripouille.

Devant son cabinet il est écrit « N'hésitez pas à rentré ! Chez Fripouille c'est la fouille !! Mr. Francice Fripouille psychiatre pour tout le monde même les chiens et les chats...»

Fatima et Jenny eu un moment d'hésitation. Elles finirent par rentré. Elles s'installent dans la salle d'attente.

Fatima c'était fait déjà une idée de ce monsieur...

Une personne, imposante, massif, avec un visage marqué les yeux globuleux noir avec les sourcils serré, épais. Brun, petit de taille avec des jambes très courtes, mal habillé avec un tee-shirt long clair qui lui arrive aux genoux, et son jean large presque troué. Et ses sandales toutes déchirées. Et enfin son sourire faire paraître une joie qui n'y est pas. Un monsieur horrible mais gentil très jugé par son apparence.

Voilà comment Fatima se fait une idée de Mr. Fripouille.

Elle se demande si l'idée d'aller voir un psychiatre est toujours une idée satisfaisante. Puis la porte s'ouvre une en sortie :

« Merci Mr. Fripouille ! Celle-ci ricana. Vos séances me font beaucoup de bien... Au revoir. A la semaine prochaine.

La voie de celui qui répond a une voie éblouissante, admirable, sublime... Une voie tellement belle, une voie d'homme. Ce qu'il y sortit de la porte est charmant, stupéfait, horriblement grandiose. Un homme grand y sortit, cheveux clair châtain, yeux bleu, sourcils épilés soigneusement, sourire éclatant, dents blanche, très bien habillé, veste en cuir marron, polo en cachemire beige, écharpe blanche, pantalon noir, et baskets noir. L'homme parfait. Fatima ne se rendait pas compte que cette homme portait un nom aussi ridicule :

« Au revoir Mme Dapier ! Le plaisir était pour moi ! A la semaine prochaine Mme Dapier ! Il souffle et se tourne vers Fatima. Entré Mlles. Alors, vous êtes Jenny Parker et Liz Parker. Il prend conscience du dossier. Bonjour Liz. Dit-il en la regardant.

  • Bonjour !

  • Alors je vais te dire exactement ce que je suis. Mon métier c'est comme un Médecin, mais moi je travail pas pour savoir là où tu as mal mais je travail la tête... Bref, allonge toi sur le lit et raconte moi...

    - D'accord, c'est très simple... Un matin je me suis réveillé et cette femme était à côté de moi, je ne me souvenais plus de rien... Et elle disait qu'elle était ma mère. Au début je l'a croyais mais je me suis mis à faire des rêves étranges, mais intéressants, intriguant, mes rêve se suivait petit à petit. Au début les personnages ne parlaient pas et un certain moment la fille m'a dit que elle était ma sœur. Ils étaient 4 et je me sentais bien, sous une protection. C'est à ce moment que j'ai commencé des doutes sur cette famille, dont cette femme qui me dit du jour au lendemain que c'est ma mère... Mais est ce que c'est possible que on puisse avoir.... Fatima commence à paniquer haussé la voie. Oui avoir 2 familles parallèles ? Car je me pose....

    • Calme toi Liz ! Non, je te rassure ce n'est pas possible. Mais...Je voudrais voir ta mère a part, s'il te plaît.

      Fatima sortit.

    • Est- ce vrai ce qu'elle dit ? Car figurez vous que cela est possible si ses parents sont mort il y a bien longtemps...

    • Oui enfin, oui c'est exact. Ses parents sont mort il y a deux, trois ans, je l'ais est retrouvé les 4 avachis sur le sol lors d'un voyage. Mais, c'était vraiment l'idéal... Car mon mari est stérile, cela fait 5 ans que nous essayons rien toujours rien et là une petite fille qui venait d'être orpheline du jour au lendemain et elle voulait se retourné et oui, j'ai pris l'occasion..pour la prendre avec moi. Comprenait moi docteur. Mon mari, et moi avons vraiment besoins d'une fille.

    • Oui, oui peut être mais voiliez-vous... Grâce à ses rêves, des doutes s'installent... Elles va finir par vouloir s'en aller car choisir entre une famille réaliste mais morte et une famille qui veux d'elle mais... Pas assez bien pour elle... Que va-elle choisir à votre avis ? Elle va partir à le recherche de ses parents biologiques. Car les rêves vont s'accumulaient et vont lui montrez en fait ce qui c'est vraiment passer, et sa mémoire va lui revenir dans peut de temps. Dit lui, c'est la meilleure solution, ou elle va accepté sans problème... Ou elle va vous en vouloir mais les rêves partirons de sa mémoire.

    • Non ! Je vous en supplie il ne faut pas qu'elle parte car je suis sous menaces de mort part mon mari.

    • Cela ce complique... Moi, je ne dirais rien par contre vous, cela serais bien que vous en parleriez à votre époux et lui dites la vérité avant qu'elle ne surgisse d'elle même. Je vais prendre Liz à part.

      Il fit entrer Fatima. Et Jenny sortit.

    • Liz, je vais te faire de l'hypnose ! Tu connais ?

      Fatima affirma, et s'installe dans le canapé en cuir marron.

    • Alors écoute tu va fermé les yeux que je dirais 3 et tu rêveras... Prête ? 3 ! »

      « Mon père... Ma mère... Ma sœur ! Du sable chaud.

      Le ciel bleu. Rachida ! Moubarak ! Hédia ! Oasis ! Ils étaient là ! On avait chaud ! On pleurait... On tremblait de peur... Mais pourquoi ? »

      Elle ouvrit les yeux :

      « On avait peur... On tremblait... » Elle disait ça comme si elle le ressentait. « Mais on avait chaud, une personne pleurait... mais pourquoi on pleurait... »

      Elle voulait trouvé la solution. Elle voulait en finir avec tout ça... « Un oasis aussi ! Il y avait un oasis, je me souviens du bruit qu'il faisait car quand je fermé les yeux je croyais entendre le bruit d'une cascade géante » Elle sourit comme si elle vivait le moment... Elle se rappelait des détails. « Rachida aussi oui Rachida le nom de ma mère elle était là ! Elle me lisait une histoire tout les soir dans ma chambre verte et jaune, Moubarak mon papa ! Il m'emmenait au parc et faisait du cerf-volant avec moi. Et Hédia ma sœur, je me rappelle ! Je me rappelle de tout ! » Elle se rappelait... « Le soir de la mort de mes parents... Mes parents sont mort ?

    • Oui Liz tes parents sont mort. Répondit Le docteur.

    • C'est pas possible... Il y avait une très grosse tempête, mon papa avait mal garé la voiture et on ne la retrouvé plus...on a trouvé un oasis ». Elle commençait à fondre en larmes « cette oasis...Il y avait un palmier aussi juste à coté. Le vent se lever et une branche du palmier c'est casser et est tombé sur nous... »

    • Tes parents sont mort d'un traumatisme crânien.

    • C'est pas possible...

       

      FIN

       

      PS : Mettez autant de commentaires que vous souhaitez, des bons et des mauvais ! Soyez francs please :) j'ai besoins de ça pour évoluer ! Par contre désoler pour les fautes d'orthographe, la ponctuation, et la police... :/ merci encore !

       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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DianeÉcrivain
  • Lire c'est s'évader de la vie quotidienne, basique et de toutes nos habitude. Mais moi j'écris et je fait en sorte que vous lecteur, vous soyer bien en lisant mes pages. Et qu'elles vous permettes de vous faire voyager dans mon monde. Alors déguster !!!
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